Extrait de mes lettres de correspondance, Djibouti 1990 :
« Nous sommes en décembre 1990 et nous partons deux jours pour la nomado du lac Abbé ; 190 kilomètres de routes en véhicules tout terrain, à travers le désert de cailloux dans une ambiance torride approchant les 45°C. Les pistes sont érodées sous l’effet des vents de sable ou parce que peu empruntées. Lors d’une pause, nous apercevons un Afar marcher seul dans une étendue plate, déformée par la chaleur. Habillé du traditionnel futha, le marcheur du désert porte le gilé, le grand couteau courbe à la lame double tranchante. » – Pascal Furlan
Je suis ravi de vous présenter mon nouveau tableau intitulé « Marcheur du désert ». Ce tableau est une pièce unique, peinte à la main. Il mesure 100×50 cm et est réalisé à l’acrylique sur un châssis en bois entoilé.
Ce tableau fait partie de ma collection de tableaux sur le thème de Djibouti. Il est inspiré d’une photo que j’ai prise lors de mon séjour de 18 mois à Djibouti en 1990, ainsi que d’un extrait d’une de mes lettres de correspondance.
Je me souviens encore de ce moment comme s’il était gravé à jamais dans ma mémoire. Nous étions en décembre 1990, et nous partions pour deux jours à la découverte de la nomado du lac Abbé. 190 kilomètres de routes en véhicules tout-terrain, à travers les vastes étendues du désert de cailloux, où la chaleur torride dépassait allègrement les 45°C. Les pistes étaient érodées, labourées par les vents de sable ou parce qu’elles étaient peu empruntées. Lors d’une pause, alors que nous nous reposions sous les rayons implacables du soleil, notre regard fut attiré par une silhouette solitaire, marchant seule dans une étendue plate, déformée par la chaleur. Il s’agissait d’un Afar, vêtu du traditionnel futha, le marcheur du désert portait fièrement le gilé, le grand couteau courbe à la lame double tranchante. Ce moment restera à jamais gravé dans ma mémoire, inspirant pour moi ce tableau.
Cette photo m’a profondément marqué et je l’ai reproduite sur mon tableau en m’inspirant de la technique des impressionnistes. La chaleur est palpable dans les couleurs chaudes et les formes floues. Le marcheur solitaire, avançant de façon implacable, est mis en valeur par le contraste avec l’immensité du désert.
Ce tableau est vraiment unique et je suis très fier de l’avoir créé. Il est un témoignage de mon voyage à Djibouti et de l’expérience que j’y ai vécue. Je suis convaincu qu’il sera un ajout précieux à toute collection d’art.
Titre : Marcheur du désert
Format : 100×50 cm
Technique : peinture acrylique sur châssis bois entoilé
Qualité : pièce unique composée à la main
VENDU