Où comment vivre sans…
Tout d’abord, et principalement pour Facebook, c’est pour des raisons éthiques. Je désapprouve les pratiques et le modèle économique de Facebook, particulièrement son mépris complet pour la vie privée de ses utilisateurs en revendant les données personnelles aux entreprises commerciales.
Puis, c’est son système d’algorithmes qui fait que mes publications ne sont plus autant vues qu’auparavant. Cela n’a plus de sens pour un système dit d’échange, sauf si l’on entre dans ce fonctionnement de recherche de likes et de partage à tout prix.
Aussi, après avoir utilisé durant 10 ans les réseaux sociaux, j’ai perçu une forme d’habitude d’utilisation addictive, et je ne conçois plus l’existence d’un univers virtuel qui peut alimenter un Moi tout aussi virtuel.
Et enfin je ne supporte plus ce temps passé sur les réseaux sociaux qui devient très vite chronophage.
Mes profils et les pages associées de ces réseaux sociaux ne sont plus visibles depuis le 11 octobre.

Quels avantages à tout cela ? Passer plus de temps à peindre, vous informer, et centraliser mes actions autour des expositions et de la vente… tout simplement !
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