Après être descendu du train une fois arrivé à Ali-Sabieh, nous quittons le village pour aller visiter une palmeraie plantée au beau milieu d’un désert de pierres. Il y fait excessivement chaud et sec. Une détonation retentit, faisant écho dans la vallée desséchée. « Quelqu’un tire au canon ? non, c’est une pierre qui vient d’éclater à cause de la chaleur… » Plus tard, sur le chemin, nous croisons un Somali, surement un de ces réfugiés qui a fui son pays la Somalie en proie à la guerre civile, me suis-je dit…
Pascal Furlan
